Digital business model innovation in hospitals.

L’innovation du modèle d’entreprise numérique réduit les coûts de personnel grâce à une division du travail pilotée par l’IA en fonction des temps d’activité ordinaux, génère une pleine utilisation et prévient l’insolvabilité des hôpitaux.

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Itable des matières

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  1. L’innovation du modèle commercial numérique a été pensée très tôt – pourquoi a-t-elle définitivement échoué ? Les aberrations numériques précoces sont encore présentes à l’heure actuelle.
  2. D’abord le dl’innovation du modèle d’affaires numérique génère des structures organisationnelles qualitativement nouvelles. Ils résolvent le problème de rentabilité grâce à une dotation en personnel efficace en termes de temps !.
    1. A. La numérisation passe par un algorithme qui formalise les faits.La numérisation n’est pas possible sans la mathématisation.
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    3. B. La source de valeur est constituée par des procédures médicales efficaces en termes de temps. Les deux sont mutuellement dépendants. Ils sont numérisés dans leur contexte. La création de valeur et l’organisation efficace en temps ont une reversibly clear relation.
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  3. Le temps d’activité médicale individuelle (ΣmTZ) est calculé ordinal Le temps d’activité médicale ne peut pas être calculé comme le temps de production. .
    1. La spécificité du ou des temps d’activité ordinale dans le processus organisationnel – Les temps arithmétiques et ordinaux sont quantitativement et qualitativement très différents.
    2. Limiter les temps d’activité ordinale pour les calculs arithmétiques – Différences d’échelle : ordinales – l’arithmétique doit être surmontée par la formation de valeurs limites. C’est la seule façon de créer des rapports de temps réalistes.
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  4. Les temps d’activité ordinaux combinés permettent un partage organisationnel efficace du travail La pleine utilisation est rendue possible par l’optimisation multidimensionnelle PARETO.

    1. Design of full-load, multidimensional ordinal schedule optimization Optimisation de la permutation dans le champ d’événements de diffusion
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    2. Optimisation temporelle permanente du front PARETO pour compenser les temps uniques de diffusion réels – temporisation avec probabilités conditionnelles, en appliquant le théorème de BAYES.
    3. Possibilités d’économies organisationnelles et économiques
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      1. L’exigence du personnel s’enfonce de façon permanente sur 2/3 de la force actuelle.
      2. Automatiquement ajuster les niveaux de dotation en personnel pour s’adapter aux charges de travail flexibles.
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      4. Z. B. Salles d’opération : 8⇒ 5⇒ Réduction des coûts de personnel ≈ 1,2 Mio € / J.
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  1. La stratégie du temps tiré – Efficace « logistique des employés » dans l’organisation réelle – Utilisation pratique des probabilités temporelles conditionnelles
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  3. Jumeau numérique – contrôle du processus des temps aléatoires – Le concept d’aperçu du temps et de contrôle actif du temps
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  5. The (résumé) le concept global
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1. L’innovation du modèle économique numérique a été pensée très tôt – pourquoi a-t-elle définitivement échoué ?
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a. Des objectifs irréels et de faux calculs ont toujours conduit à transformation du modèle d’affaireséchecs – les échecs ne sont pas résolus et sont ignorés. 

Des solutions numériques étaient déjà développées pour économique dotation à z. B. le …

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« Les causes qui surviennent régulièrement temps supplémentaire malgré des postes de médecins supplémentaires », (Pragma)

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pour pouvoir éliminer. Mais pour ce faire, le concept de Big Data (B D) a été peuplé de existantsinefficaces données, dans l’espoir que le concept « trouve » les structures temporelles optimales, sans même se douter qu’ainsi l’inefficacité temporelle analogique ne ferait que devenir une inefficacité temporelle numérique. Un reformatage unique ne pouvait que conduire à un résultat négatif.

Un concept viable n’a pas encore été trouvé, même à l’heure actuelle : 

α. Le e<> groupe est nihiliste et désabusé, déclarant : …

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« … z. Zt. n’atteint pas le médecin… La numérisation n’en vaut pas la peine »

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Vousne remarque pas que dans cette revue, le vrai (paradoxe de la productivité informatique) semble fonctionner dans les structures inefficaces qu’elles initient elles-mêmes et que, pour cette seule raison, la Digital Business Innovation est nécessaire de toute urgence.

β. Le second est euphorique, croyant aux « pouvoirs de guérison économique » (pratiquement une « drogue numérique ») émanant de la numérisation, malgré les échecs. Elle est censée « remédier » aux inefficacités par « sa propre efficacité ». Cette délusion prétend : elle va …

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« … Les logiciels plus développés aident à résoudre les problèmes économiques » (Walker Project).

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γ. Die troisièmegroupe bat « digitalNebengbusiness » pour les cliniques, autour du économique problème principal : revenu &lt ; effort« mitiger » par mitiger. …

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« elle est parvenue à toucher de nouveaux groupes de clients… en combinant des applications de fitness, Skype avec… des abonnements«  (ZEQ)

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Ceci est basé sur des exemples de (business-model-innovations) de Saint-Gall référencé. Cela se voit : Ici, l’impact économique de la numérisation pprincipe non compris. Dles exemples de St-Gallen sont de par leurpropriété de coût marginal nuléconomique – qu’ils possèdent pure forme numérique. Une maison hospitalièrele modèle économique peut être basé sur kembodiedfull-staff, ne se passent jamais non plus de conseils numériques. Bottom line : Am réduire les indispensables sur le plan médicaldépensespersonnelles : Arial, sans-serif ; »>pourréduire les coûtsil n’y a aucun moyen de contourner.

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δ. La majorité écrasante maintient un « grand silence » sur l’innovation du modèle d’affaires numérique pour parvenir à une création de valeur durable dans les hôpitaux car:

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(supposément) aucun problème ne nécessite de solution.
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Mais quelle que soit la position (protectrice), une explosif » se rapproche : augmentation du risque d’insolvabilité alors que les ventes augmentent (Ø≈4%/an), pénurie croissante de personnel alors que les ratios de charge de travail sont mauvais (i. OP ≈ 62%). L’énumération peut être poursuivie. Ces contradictions obligent à des solutions numérisées, même selon des consultants en gestion sérieux, car …
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« Innovation et Digitalisationsont en train de devenir le levier central,… Ceux qui ne parviennent pas à… se positionner avecun un nouveaunmodèle d’affaires, va… cesser d’exister. «  (Deloitte)

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Paroles positives : Une innovation du modèle d’entreprise numérique, par rapport aux niveaux actuels des coûts de personnel, permet une réelle ..

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Épargnede Ø. ddes frais de personnel /Jannée.

Question : Quels moyens numériques doivent être utilisés pour cela ?

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2. Seule une ddigital business model innovation génère qualitative de nouvelles structures organisationnelles qui résolvent le problème de l’efficacité économique avec temps efficace par utilisation per-sonnelle !

2. A. Chaque innovation de modèle économique numérique passe par un algorithme qui formalise d’abord des faits économiques.
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Pour profiter du gain de productivité procuré par le partiellement. impressionnants, axés sur le patient, pour la création de valeur de l’hôpital, les processus de partage du travail qui organisent ces traitements efficaces doivent réduire proportionnellement l’effort. La numérisation axée sur le patient et la numérisation organisationnelle doivent toutes deux fonctionner efficacement. Pour pouvoir numériser les structures organisationnelles, la procédure mathématique de numérisation doit être appliquée aux structures à valeur ajoutée. Elle passe par les étapes suivantes :

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  1. La numérisation d’un sujet commence par la connaissance du sujet. La création de valeur doit d’abord être comprise de manière rationnelle.
  2. La connaissance doit être sous forme théorique, de sorte qu’elle puisse être transformée en forme adéquate, mathématique (formule, algorithme).
  3. Si elle est sous forme mathématique, la numérisation est « juste » la mathématiquetransformation d’une structure décimale donnée en une valeur égale structure duale. L' »outil » pour la transfor-mation valeur égale est le booléen (algebra), car…
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« …Chaque formule de l’algèbre de Boole a une formule duale. Est theUne formule Allowed, alors c’est aussi VOTRE DUAL FORM,… »
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L’inverse : les préférences actuellement courantes (statuts OP), les pratiques hiérarchiques, les estimations de temps, les tailles Ø, les tailles de référence (voir. Calcul des besoins en personnel), structures « artistiques » para-scientifiques (voir effectif complet décimal), ratios irréels (voir nombre de cas / effectif complet), etc. n’ont aucun contenu théorique. De tels « subjectivismes » ne sont pas mathématisables et par conséquent pas numérisables. Ils prennent mathématiquement la forme de (équilibres bayésiens NASH). Les équilibres sont connus pour être l’opposé des processus.

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2. B. L’innovation du modèle économique numérique amplifie la création de valeur en organisant les opérations médicales de manière efficace en termes de temps. Objectif : réduire les coûts de personnel.

1. La base théorique est la comptabilité à valeur ajoutée.
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Le terme orienté capital (succès) est inapproprié en raison de son orientation vers le propriétaire. Cela peut être négatif pour lui, même sans le risque d’insolvabilité, mais pas pour l’hôpital. Si le succès est compris comme la création de valeur, le risque d’insolvabilité est signalé très tôt, car la création de valeur est jamais négative. L’objectif imminent de numérisation concerne ordinary succès opérationnel = création de valeur du KH. Elle est calculée à partir du ratio réalisé :montage – distribution.
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« L’analyse relativisée présente l’avantage de la référence à la taille d’influence (création de valeur) , caractérise les activités opérationnelles-production-économiques. .. et recourt à la traditionnelle analyse de la source des résultats… La caractéristique du concept est un compte d’origine qui permet de faire des déclarations sur la durabilité des composants à valeur ajoutée et leur distribution » (K-H. Küting, C-P. Weber : Die Bilanzanalyse, Verl : Schäffer/Pöschel, S 304, 324 ff)
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La comptabilité en valeur ajoutée repose sur les exigences du code de commerce allemand (HGB § 275, para 2+5) (outline). La présentation structurelle est faite selon : R-D. Pfister ; La valeur orientée dans les organisations, base de l’approche de gestion de la valeur holistique (n. norme européenne 12973, vol 1 ; p 308) (création de valeur). Typiquement, leur dichotomie : Création = Consommation. Le succès relève ici de la consommation et constitue la part d’activité consommable. La construction interne de l’entreprise de valorisation s’appuie toujours sur (autoconsommation), l’autoconsommation ne pouvant être supérieure. Il comprend des obligations de paiement fixes et la part des bénéfices (Ef &gt ; 0) variable, car…
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« La création de valeur fait partie intégrante de toute activité économique car seule la valeur ajoutée attendue(Ef) incite les agents économiques à effectuer des transactions »
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L’énoncé de la chaîne de valeur constitue également la base factuelle d’une innovation du Digital Business Model dans les hôpitaux, en fournissant la theoretical, c’est-à-dire digitalisable. Pour le « contrôle interne » de création de valeur plusieurs propriétés sont significatives:

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Le contrôle de l’effort utilise un « seuil » pour les coûts de personnel. Elle permet pas de croissance débridée. La structure de la valeur ajoutée est réorganisée : WE = WV(PW – VL) = (PK + taxe + cap. L’intérêt [Foreign+Own] + Ef) donne : ⇒ (WE) – (PF + impôt + intérêt plafonné) = Ef &gt ; 0, Si les impôts et les intérêts sont négligés parce que plus faibles, la 1ère approximation donne une équation de base:

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(WE) – (PK) = (EF) &gt ; 0.

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Economic Strategy Approach for Digital Business Model Innovation : Le niveau des frais de personnel doit toujours être géré pour permanemment rester en dessous de la taille de la création de valeur. Alors (Ef) &gt ; 0 et il n’y a jamais de risque d’insolvabilité. Il s’ensuit : La tâche la plus importante d’une numérisation de ruissellement est : de fournir les …

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Quantitativement gérer l’efficacité organisationnelle afin que le volume de valeur ajoutée ne soit pas plus que consommé à l’origine !

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2. relation mathématique : création de valeur – organisation
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Mais l’innovation des modèles d’affaires numériques échoue sur le pur Monel’approche libertaire de la notion de succès orientée vers l’équité qui est exclusive aux hôpitaux. Il…

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est utilisé par ce qu’on appelle les pertes et profits…. affecté. (Ils) affectent toujours le compte de résultat. Par conséquent, un bénéfice augmente les fonds propres, une perte les diminue. (fonds propres)
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Les frais de personnel sont « seulement » une déduction et non une charge d’exploitation par la suite. Cette focalisation exclusive sur les montants monétaires empêche de s’intéresser à leurs sources organisationnelles. Premièrement, le compte de valeur ajoutée [selon (Schmalenbach) s’interroge sur le « causal » lien entre la structure organisationnelle, la opérationnel source, et sa propre consommation, l’effort opérationnel monétaire.

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On peut dériver une référence mathématique pour la relation entre ces deux niveaux d’entreprise qualitativement structurés différemment, qui suit l’idée élé-mentale de création de valeur :

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« Il faut d’abord produire quelque chose avant de pouvoir le consommer »

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L’équation de base (WE)-(PK) = (EF) &gt ; 0 est reliée à sa source organisationnelle génératrice de chiffre d’affaires à cet effet : compte de caisses (FZ). Ainsi, l’équation de économique (intensité) (efficacité de l’action ; analogue à la performance physique) ⇒ [(WE) / (FZ)] – [(PK) / (FZ)] = (Ef) / (FZ) &gt ; 0. Multiplier par 1 ne change pas l’équation. Il en va de même pour 1 = (PK)/(PK). Le résultat est :

(VK) / (FZ) * [(WE) – (PK)] / (VK)= (VK) / (FZ) * (Ef) / (VK) = x &gt ; 0 D. C’est-à-dire : Organisationnel Efficacité dépend du facteur : (VK) / (FZ).

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Pour calculer à quel quantités de (VK) et (FZ) dont l' »efficacité » est atteinte, les deux doivent être comparables à travers une dimension commune. Dans la structure organisationnelle, il s’agit du temps. Si les deux dimensions sont transformées selon leurs formes de temps organisationnel, le résultat est pour : (FC) : (mTZ) = médecine. Tät-igkeitszeit et pour (VK) : tarifl.(AZ) : (tBZ) = ge-plante Belegzeit (sous-ensemble tarifl. AZ). (VK) / (FZ) devient le rapport temporel : (tBZ) / (mTZ). Parce que dans le processus médicalaucune pleine puissance (VK) n’a intérêt à prolonger le (tBZ) chez le patient individuel plus longtemps qu’il n’est nécessaire pour l’exécution de son activité médicale (abus non considéré), une valeur limite est donnée :

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(tBZ) (mTZ) (tBZ) /(mTZ) 1 m. : lim (tBZ) / (mTZ) → 1
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Après transformation, l’efficacité organisationnelle (RU)/(FC) = 1 donne temporellemesure organisationnelle : 1 = 1 // [(∑tBZ) / (∑mTZ)]. Si (VK) / (FZ) est remplacé par cette mesure, une équation dans laquelle cette mesure exprime l’efficacité des structures organisationnelles pour la création de valeur émerge. Ce facteur : 1 // [(∑tBZ) / (∑mTZ)] est la  » variable de contrôle « . La formule de base est:

[ 1 // (∑tBZ) / (∑mTZ) ] * [(WE) – (PK)] / (VK)] = (VK) / (FZ) * (EM) / (VK) &gt ; 0 avec [lim : ∑(tBZ) / ∑(mTZ)→ 1]

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Gérer de telles structures organisationnelles hospitalières time-efficiently nécessite une innovation cohérente des modèles d’affaires numériques.
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3. Les données de base de l’inno-vation du modèle d’entreprise numérique sont réelles, les heures d’activité individuelle en ordinary calculation

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Note : Une singulière valeur de : (tBZ) / (mTZ) doit ne pas être mis à l’échelle. Le rapport unique est simplement une quantité.

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Lorsque temps est consacré à plusieurs activités médicales (par exemple, la planification), les valeurs individuelles sont classées en relations aux autres (mTZ). Le problème : Parce qu’aucune (mTZ) n’est identique à une autre,la taille de classe extraordinaire de (∑mTZ ???) doit d’abord être déterminée. Il n’est pas identique au temps de Ø habituel.

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La différence non comptabilisée de ordinal scaling des temps d’activité médicale et des temps tarifés (tBZ) est une raison principale des échecs permanents de la numérisation des flux ! !

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Afin d’avoir une compréhension suffisante auprès des professionnels de santé, la différence est expliquée à titre d’exemple. Comme les temps individuels ne sont pas calculés de manière ordinale dans HIS, les temps de bloc réels des TuR-P ont été tirés des protocoles d’opération, qui visaient à l’origine à déterminer une corrélation entre la taille de la prostate et la durée du temps – ce fut un échec, mais cela a conduit sur le bon chemin.


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La procédure habituelle calcule le temps (arithmétique) de 46,3 min à partir des temps individuels. Mais même un regard superficiel le montre : les temps individuels ne se compressent pas (comme ils le devraient) en une cloche gaussienne autour du Ø. De manière encore plus radicale, pas une seule valeur n’est sur le Ø. Un test d’échelle métrique devrait vérifier si un…

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« additif changement… indique…changement de taille. Voici un exemple d’additif…changement de taille. (size scaling)

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La condition est non remplie. Motif : les temps d’intervention ne peuvent pas être modifiés arbitrairement. C’est-à-dire que les temps OR ne sont pas arithmétiques strong>échelonnés.

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3.1. La base d’une innovation commerciale numérique doit être les données en temps réel – et c’est ordinaireéchelle.
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Un temps d’activité médicale(mTZ) est la INDIVIDU période d’activité médicale d’un individu pleine force (FC) sur individu patient (= cas (FC)). Il possède les propriétés (inhabituelles) suivantes :

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    • (mTZ) ne peut être que le mesureddifférence de temps de l’activité de son début à sa fin, car aucun (VK) ne peut déterminer avant que l’activité ne commence, au sens d’une expérience mentale, quelle sera sa durée. La mesure du temps sans manipulation est la base. Typique pour les activités médicales est que leur durée est plusieurs similaires jamais égale. Les temps diffèrent en rang, mais pas en intervalle de temps – (d’où la échelle ordinale).
    • .

    • Temps d’activité médicale a une caractéristique particulière : l’activité totale est toujours une séquence d’activités partielles qualitativement différentes. Celles-ci peuvent être caractérisées en termes de temps de la même manière que l’activité totale. Conséquence : en termes d’organisation du temps, le temps total d’activité est basé sur un ensemble de temps partiels inhérents, sans relation causale, qui déterminent un (pré-commande) pour le temps total d’activité. Ainsi, l’échelonnement ordinal du temps total d’activité est ordinalement « underscaled » dans ses différents sous-temps. 
    • En temps simple, il n’y a pas d’échelonnement. Quantitativement, arithmique et ordinal simple temps sont les mêmes. La différence ne devient perceptible qu’avec la formation de la classe.
    • Chaque temps individuel est unique. Conséquence : il n’existe aucun multiple de celui-ci et inversement : il est non divisible.
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formant des classes de temps ordinales pour l’activité égale à pleine puissance.

    • Ordinally scaled times are orderedas time events in time intervalst. Les temps individuels tombent comme des événements temporels anonymes dans l’un des intervalles de temps et apparaissent dans une distribution de fréquence dans leur intégralité comme ordinal dispersion. Cela peut être calculé via rank-dependentl’augmentation ou la diminution du numéro de l’événement temporel (compute). Pour ce faire, chaque rang est comparé à chacun dans le champ de l’événement compared. Dans le champ événement, le « le plus stable«  plage d’événements où il n’y a pas d’augmentation des événements temporels au rang de prédécesseur ou de successeur – où : Δ=1 est. C’est la distance de rang moyen de l’événement temporel par rapport à tous les autres. Il représente l’ordinal classe de temps pour l’ensemble des singuliers (mTZ).
    • Après avoir déterminé la distance de rang moyenne, on obtient l’intervalle de temps Δ=1 associé, mathematicalement unique dans la distribution de fréquence. Dans leur séquence d’intervalles de temps, cet unique intervalle représente le centre de temps (Zz) de la distribution et sert de variable de plan dans l’ordonnancement. 
    • Tous les temps individuels ultérieurs tombent de manière aléatoire-dispersée dans la distribution de fréquence, l’amplifiant et décrivant le cha comportement temporel vectoriel de ces individus (VK) lors de la répétition de plus en plus précise de l’activité (voir : (mesure simultanée)flou d’Heisenberg), comme le montrent les temps TuR-P du (CHA).

 

Classe

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Le calcul donne : (Zz) : 35 Min ; Réalisation probable (p) : 77%. Dans la planification organisationnelle, le tarif temps partiel de travail (tBZ) est appliqué dans le facteur : 1 // [(∑tBZ) / (Zz)] au médical centre de temps (Zz) – cela inverse l’état actuel des choses et constitue un élément essentiel de l’innovation du modèle d’entreprise numérique pour cette seule raison. Lorsque la valeur seuil « 1 » est atteinte, il s’ensuit une « haute efficacité dans le temps ».

L’étalement du temps d’une activité médicale n’est pas arbitraire, mais repose sur des compétences médicales développées de manière différentielle par un personnel à temps plein lorsqu’il s’agit de traiter les spécificités individuelles du patient.
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Le calcul de dispersion ordinale (Zz) dans le graphique de distribution ci-dessus donne des distributions de fréquence différentes pour les 5 (VK) sur l’exemple : TuR-P, dont les propriétés statistiques ordinales rendent compte des écarts importants par rapport au zième centile. Ø temps actuellement commun, tant dans l’orga-isation du temps (voir valeurs Zz) que dans le calcul du temps de travail (voir tarif AZ). Ils serviront d’exemples de démonstration dans la suite de ce document.
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Vous pouvez voir dans l’analyse des différents personnels complets (FSC) que chacun d’entre eux a résolu les problèmes individuels des patients avec leur personnalité individuelle .

From the Practice : L’évaluation des temps dans l’équipe médicale a provoqué un grand étonnement car il y avait de grandes différences entre le temps habituel Ø : 46.3 min / OP et les centres de temps individuels (Zz), surtout pour la planification des temps OP.

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Attention, ceci a révélé un problème (soluble)

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Plus étonnantes encore sont les différences entre le temps de travail OU / mon. « ressenti » et le temps de travail mensuel mesuré. Il s’est avéré : le temps de travail mensuel, en tant que somme de tous les temps individuels / mois, est en corrélation avec la somme des valeurs de dispersion. Il n’est pas en corrélation avec les temps n-fois Ø. Ceux-ci « déforment » la charge de travail réelle.

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Parce que la dispersion avec son centre temporel (Zz) pour chaque temps d’activité peut être calculé mathématiquement, algebra booléen est applicable. Par conséquent, la base temporelle des activités médicales est digitalisable. Le logiciel utilisable existe déjà.

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Dès à présent, les « subjectivismes déformants » (estimations, repères, chiffres de référence, effectifs orientés vers les revenus,. .) qui ont empêché l’innovation du modèle d’entreprise numérique jusqu’à présent ne sont plus requis.

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L’élimination des parties du processus opérationnel qui n’apportent pas une valeur ajoutée suffisante fait partie de la mise en œuvre d’une innovation de modèle opérationnel numérique.

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Le concept de « timebias« .

Il désigne le fait non unique qu’une small part du temps utilisé pour la planification coïncide presque ou complètement avec la réalité. Cependant, la vaste majorité des fois ont tout simplement tort. Raison de cette « confusion » : dans pratique on est forcé de se conformer à la propriété ordinale de non-divisibilité. Dans la planification – sans danger pratique – l’arithmétique est utilisée. Ce « hermaphrodisme arithmétique » produit deux types de solutions illusoires en pratique :

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  1. Type 1 : « shell planning« . ⇒ (arithmétique sur ordinal). Elle est nécessaire car elle doit « envelopper » suffisamment le temps ordinal réel non divisible. Cette  » sur-planification  » du temps d’activité est l’une des raisons des besoins en personnel médicalement injustifiés.
  2. Type 2 : « Parallel-Z-iteration«  ⇒ (le calcul en unités de temps « d’étirement » produit une « juxtaposition » au lieu d’une coopération complexe). La division médicale du travail, typique des hôpitaux, est mise en œuvre de manière linéaire en termes d’organisation du temps et conduit à des structures parallèles au lieu d’une multidimensionnalité dans l’utilisation des ressources (personnel, ressources techniques).
Type 1 : La« planification de la coquille » ou le« principe d’ouverture de la boutique »

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De telles distributions de fréquence par (VK) sont actuellement peu courantes. Il existe de nombreux hôpitaux qui ont pratique résignés au fait que la planification avec Ø temps arithmétique (ici : 46,3 min) ne correspond pas à la réalité (« Par hasard, c’est comme ça »). La planification du personnel est néanmoins calculée avec elle, même si dans la pratique organisationnelle il faut s’en passer. Pour cela, la solution miracle: « expérience pratique » a été développée.

Mais il ne se dispense que superficiellement de la théorie, sans se douter qu’il fera néanmoins le propriétés extraordinaires de non-divisibilité du temps ordinal lorsqu’il utilise le « temps maximum », même si Ø-temps est formellement un temps divisible. Elle « normalise » le calendrier de déploiement du personnel enattendant « abondamment » la durée de l’activité en fixant précisément l’heure du calendrier qui, d’après son expérience, est la plus longue actuellement. Ce temps unique réellement le plus long est maintenant utilisé comme un « plan » et appliqué aux autres temps plus courts pour la formation de la classe. A l’exception de la 5e salle d’opération, 4 salles d’opération sont surplanifiées avec 80 min. Cela assure aux 4 PO que leurs temps réels undivided « rentrent » dans l’enveloppe temporelle – le résultat est une contradiction indissoluble. Elle ne permet pas l’innovation de la structure de l’entreprise par la digitalisation.  

Avec cette « surplanification » (27%), les 4 autres (Royaume-Uni) formellement comme « occupés », même s’ils sont réellement 80 min pas « vraiment »occupés.

Dans l’hôpital cité en exemple, on va plus loin et on renonce à utiliser les ressources de partage du travail en « réservant » une salle d’opération toute la journée. C’est scheduling selon le « Principe d’ouverture des volets« . L' »ouverture du magasin » génère 182 min = 45% de temps mort (utilisation 55%). L’Aus-rede : l’équipe du bloc opératoire a besoin de temps de préparation.

Conclusion : Le timing est conforme à la réalité à &lt ; 20%. À &gt ; 80%, il est surcharge. 1 // [(tBZ) / (mTZ)]est non calculable, car (mTZ) est falsifié. Suchsurprogrammationne sont que qualitatifsévidence.

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Sur le type 2: la division du travail comme « utilisation parallèle non coopérative » de la capacité
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La « solution bidon » de la division du travail tente de résoudre l’utilisation des ressources avec la divisibilité des Ø temps arithmétiques des activités. Un exemple typique, techniquement complexe, est calculé par : T. Klöss, Capacity planning ; (OP-Management), Ch : E.1. ; pp : 154 et suivantes. Il est de l’avis irreverent:

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« L’exigence de temps de bloc opératoire se compose de la moyen Cut-Nath Times. . » (ibid. p 162)
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Dans le modèle de calcul plus simple mais tout aussi structuré pour le (TuR-P), 5 (VK) avec le temps Ø : 46,3 min doivent ensuite être répartis entre 2 OR. L’arithmétique formelle aboutirait à la division suivante : 2,5 (VK) pour chaque 2 OP avec 115,75 min d’OP. Si l’approche était mise en œuvre dans la pratique, elle conduit à d’étranges bizarreries :

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1. Tant que l’ordonnancement au niveau (tBZ) n’est pas confronté à la réalité au niveau (mTZ), il n’y a pas de conflits. Quoi qu’il en soit, cela ne dérange aucun gestionnaire lorsque ses calculs donnent d’étranges « décimales (VK) » – ici 2,5 (VK) – même si les parties humaines ne sont pas considérées médicalement comme inaptes à la vie. Le problème est le suivant : les besoins en personnel sont calculés à partir des chiffres (étranges) des plans et non à partir de la pratique – alors que c’est exactement ce dont on a besoin.

2. Pourtantjamais le collectif des (VCs) d’une clinique n’a opéré collectivement un patient – mais c’est précisément le fait (supposé) que dépeint Ø-time. Mais si seules des forces complètes individuelles, intégrales le font dans la vie réelle, alors les mathématiques doivent être adéquates. Le arithmétique n’est pas.

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Dès que les temps arithmétiques doivent être implémentés dans la réalité, une « structure d’occultation » agit sur les temps Ø. Diviser par deux le temps Ø (23,2 min) signifie qu’un vrai (VK) devrait devenir un demi – 0,5-(VK) – de sorte qu’1 demi dans chaque salle d’opération « demi-opère » sur chaque patient ⇒ Quel non-sens! Il est regrettable que les mathématiques ne soient pas de la physique. Quiconque connecte 2 fils sous tension de manière incorrecte à cet endroit se brûlera les doigts. Certes, le « simulacre de planification » doit accepter qu’un (VK) ne peut pas être divisé, mais là encore, seule une « demi-solution » est développée en mettant à jour linéairement le temps Ø. Dans la 1ère salle d’opération, 3 opérations doivent maintenant être effectuées, et dans la 2ème salle d’opération, seulement 2 opérations doivent être effectuées. Dans ce « corset » mathématiquement rigide, deux effets se rencontrent : 1. la mise à jour additive des temps et 2. l’utilisation de temps Ø fixes, irréels. Cela crée du temps vide = du temps de personnel médicalement inutile. L’utilisation flexible, coopérative en s’adaptant aux temps courants et aléatoires ne permet pas ce « corset temporel rigide ».

Encore une fois, le « corset temporel » ne permet pas seulement l’innovation du modèle d’entreprise numérique. Parce qu’une telle forme de division du travail n’est pas rationnelle, elle doit être « instruite administrativement ». C’est-à-dire : Cette forme de partage du travail génère en plus du temps quantitativement « gonflé » consacré aux activités médi-cales, du temps consacré à (non calculé ici) activités administratives (rédaction des statuts des blocs opératoires, attribution des droits d’utilisation des ressources, programmation des réunions des médecins-chefs, contrôles par les responsables des blocs opératoires,…). ..). En revanche, l’innovation du modèle d’entreprise numérique réalise la transition de la « propriété » à l’utilisation des ressources.   

Conclusion : Analogue à α. il existe un Sur-planification. Là encore, 1 // [(∑tBZ) / (∑mTZ)] est quantitativement non calculable, il ne peut donc pas être numérisé.

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La planification avec le (TuR-P) est intentionnellement simple, mais les calculs du modèle typique. L’analyse mensuelle du processus réel dans l’hôpital exemple, comme dans 42 autres KH, montre les mêmes problèmes. Le calcul des structures en temps réel a été effectué en utilisant une fonction de densité d’activité dépendant du temps.

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Le taux d’occupation de 61,8% résulte 38,2% médicalement inutiles Personnel. Ce « destin » n’est pas inéluctable. Poursuivre le projet de loi sur le modèle TuR-P, pour bâtir la pleine capacité avec Digital Business Model Innovation, un Paradigm Shift a été fait. La structure horaire inefficace se transforme en contrôle numérique, coopérativesdivision du travail:
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Placé dans le véritable processusrésulte en un full-load (≈ 98%) im Bei-spielkrankenhaus. Les effets d’une innovation de modèle d’entreprise numérique sont les suivants :

  1. Par (Zz)usage, 3 médicalement inutile salles d’opération réduites.
  2. En raison de 1,5 quarts de travail, 4,5 équipes OP [16 (UK)] déployées.
  3. L’économie de coûts de personnel est de ≈ 1,1 M / an.
    .

3.2. Limites des temps ordinaux dans les calculs d’efficacité économique
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Les structures hospitalières nécessitent également l’analyse de contextes dans lesquels l’arithmétique et des temps ordinaux se produisent en commun (s : calculs personne-alternative). Parce que les deux types de temps sont échelonnés différemment, le temps ordinal (Zz) doit d’abord être transformé en une « limite quasi-arithmétique » (aaG) afin que les quantités temporelles de nature organisationnelle aussi bien que managériale soient comparables. Les temps TuR-P (1→8) de la (CHA) montrent que cela n’est pas possible dans le ordinaire « état brut »:

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t1 &lt ; t2 &lt ; t3 = t4 = t5 &lt ; t6 &lt ; t7 &lt ; t8 (t1 ≠ t8)
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Avec ces différences de quantité, les 4 opérations arithmétiques de base v. la di-vision : (1/tn) ne peuvent être effectuées. Il n’y a pas de lien entre tn et tm . Elle doit exister. Le calcul quasi-arithmétique avec des quantités ordinales n’est possible que si les axiomes de (théorie des groupes abéliens), en particulier : (tn*tm = tm*tn); t*t-1 = e et t*e = t sont satisfaits à cause de la divisibilité. La transformation quasi-arithmétique doit être égale en valeur.

La tâche mathématique consiste maintenant à regrouper les données. Seuls ces derniers permettent de multiples itérations successives jusqu’à ce que les 8 temps individuels soient transformés en n-des limites approximées arithmétiquement (aaG). Les temps individuels (t1≠tn) deviennent : n*(aaG)-times. L’égalité des valeurs de (aaG) avec les différents temps individuels représente le ordinal modifié (HERON)Processus de transformationdu héron.

Important : Le n-flux (aaG) ne donne que le actuellementtemps de travail tarifé consommé/mon. La somme : Σ(aaG) supprime également les distorsions temporelles parfois importantes (notamment pour les activités très dispersives). Deux exemples (CHA) :

1. Temps TuR-P : (aaG) =33 ,2min. Pour 8 OP/M. = 265,6 min / M = 4,4 h tarifl. AZ / M. Solution Sham : Ø : 46,3 * 8 ≈ 6,2 h / M. C’est-à-dire : Le (CHA) est 1,8 hr / M tarif surévalué.

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2. Temps d’EPR : (aaG) = 159,5 min. Pour 15 OP/M = 2 325 min / M = 39 h tar-ifl. AZ / M. Sham + les valeurs de 3 OA : Ø : 183,4 * 15 ≈ 45,9 h / M. I.e. : Le (CHA) est 6,9 hr / M tarif surévalué.
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align= »justify »>

Plus la dispersion est grande, plus le biais temporel est important, par exemple calcul urétéral, carcinome testiculaire, calcul rénal,…………………………………………………………………….. . Il en va de même en sens inverse. Le AZ du STA est réel de 1 h de plus que calculé.

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Après la transformation en Héron des OP d’un (VC), puis en raison de soins d’autres (VC), ou en raison d’une formation avancée, etc. Le ΣaaG pour tous (VK) d’urologie est :

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ΣaaG(CHA) + ΣaaG(OÄ) + ΣaaG(OA1) + ΣaaG(OA2) + ΣaaG(STA) = Total OR time de la Clinique d’Urologie par mois

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Même s’il ne s’agit que de la prise en compte théorique d’une innovation du Digital Business Model : 1,8 * 12 = 21,6 h/an ≈ 1 296 min/an. Si davantage de TuR-P de 35 min chacun étaient exploités pendant cette période, cela rapporterait ≈ 11 000 € /an. Cela devrait susciter des réflexions car l’aile du bloc opératoire où se déroulent les TuR-P figure au bilan et doit être amortie chaque année. Des temps TuP-P réalistes avec d’autres des temps OR réalistes pourraient contribuer concrètement à soulager la situation financière du bilan du KH. 

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Le ΣaaG correspond aux heures de travail du tarif et doit être rapporté au total de toutes les heures d’activité médicale pour déterminer les besoins en personnel. C’est seulement ici que le facteur : 1 // [(∑tBZ) / (∑Zz)] est correctement calculable. Cela a 2 conséquences importantes :

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  1. Les longues, parfois très longues périodes d’activités pour des raisons médicales. Mais : ces heures d’activité ne sont désormais pas des heures supplémentaires. Elles ne sont pas liées aux heures de travail fixes. Le calcul est inversé, car le temps de travail moyen est calculé à partir des temps individuels flexibles. Le problème des heures supplémentaires est éliminé car (aaG)les temps de bloc longs et courts sont « compensés » les uns par rapport aux autres. Il en résulte un « temps de chargement moyen » par (VK). Si la direction de l’hôpital met en pratique cette flexibilité du temps, il n’y a pas d’heures supplémentaires non rémunérées. L’innovation du modèle économique numérique élimine cette « grille grossière » actuelle de calcul du temps de travail.
  2. L’approche de (Pragma): « Causes des heures supplémentaires survenant régulièrement malgré les postes de médecins supplémentaires » devient sans objet.
  3. .

  4. Parce que le (aaG) est multiplié par le nombre réel, n-fois, d’activités, une variation du nombre de cas (FC) est systématiquement prise en compte. En conséquence, la croissance effrénée des coûts de personnel due au découplage des chiffres (AC) des chiffres (FC) est éliminée. Une strong>stratégie de rationalisation par l’innovation du modèle d’affaires numérique devient possible. La complainte de P. Magunia [UB (R. Berger)], la…

La situation financière n’a jamais été aussi étriquée qu’aujourd’hui. … les 600 cadres hospitaliers interrogés sont plus pessimistes que jamais quant à l’avenir.

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… Est « floue » et aucune approche d’un modèle d’entreprise numérique inno-vation Quantitativement précis est le Moniteur d’insolvabilité de « Credit-safe » à la (hôpitaux-insolvabilités). La moyenne géométrique de l’augmentation des faillites de KH depuis 2018 était x° = 16,31% /an. Le pessimisme ne suffit plus. La réalité peut changer. Les structures de l’Office fédéral des statistiques (numéros de dossier, numéros d’employé) Sujet Série 12 Série 6.1.1 (2020), peut désormais appartenir au passé :

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Les taux annuels d’augmentation sont la moyenne géométrique des valeurs individuelles annuelles. 

 

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4. L’innovation du modèle d’entreprise numérique génère une division du travail efficace en termes de temps grâce à Kcombinaison des temps d’activité ordinaux.

Il faudrait que la division du travail en fonction du temps soit l’attribut inhérent de la division médicale du travail pour obtenir l’effet d’efficacité économiquement souhaité. Mais : les temps Ø ne permettent pas d’atteindre objectivement cet objectif. Mathématiquement, l’expérience ratée mute en (Bayesian Nash equilibrium). Cela ne produit pas d’efficacité dans la division du travail, car il est dans la nature de tout équilibre de répondre à un changement en revenant rapidement à sa position initiale.

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La tâche est réapprochée. Maintenant real timebaseline data sont disponibles. A partir de celles-ci, des informations intelligentes pour le contrôle de l’IA seront générées, offrant une solution pour les Spécificité organisationnelletrouve:

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À la différence de la production, les activités médicales, en raison de leur caractère ordinal, il n’est pas possible de déterminer leur durée avant leur début ou même pendant leur déroulement de manière prévisible.

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Fpour les structures organisationnelles, 2 tâches doivent être résolues:

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  1. Concevoir le optimal schedule, avec l’objectif de partage du travailutilisation complète. Mathématiquement, cela a pour effet que dans le facteur : 1 // [(ΣtBZ) / (ΣZz) les temps d’occupation prévus (ΣtBZ) deviennent presque identiques aux centres de temps médicaux (ΣZz). Le facteur prend la valeur totale « 1 » : ⇒ C’est-à-dire qu’il n’y a (presque) pas de dotation médicalement inutile.
  2. Optimisation permanente du temps de la procédure réelle, afin de pouvoir corriger les écarts partiels des réels temps individuels par rapport au plan. Pour sa réalisation, le facteur : 1 // [(ΣtBZ) / (ΣZz) = 1 automatiquement et en permanence doit tendre vers sa limite : [lim : ∑(tBZ) / ∑(mTZ)→ 1]. C’est le « noyau mathématique » de l’innovation du modèle d’entreprise numérique dans les hôpitaux.

To α : Temps-optimal planification du workflow
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La base mathématique de l’innovation des modèles d’affaires numériques nécessite également de nouvelles structures de calcul. Les temps d’activité ordinaux (mTZ) ne sont plus des nombres additifs, mais ils sont interprétés comme des ensembles de temps avec des éléments ordonnés par rang. La « sommation » devient la union d’éléments d’un ensemble temporel – des propriétés qui conviennent bien à la division organisationnelle du travail.

Dans la division organisationnelle du travail,« n »-forces totales (FCs) dans des ressources ordonnées « m »-parallèles (dimension spatiale) sur le « t »-temps ((clock)-dimens-ion de temps) sont utilisés. En outre, il existe des sous-dimensions pour l’imbrication temporelle du dépendant (VK) (voir chirurgien⇔anesthésiste). Sur le plan temporel, il s’agit d’un cube de données (matrice n-dimensionnelle w. p-vecteurs). L’activité se compose toujours d’éléments idéationnels-planificationnels et matériels-pratiques. Cela nécessite 2 dimensions de données chacune : Planification du temps / Réalisation du temps. Leur interaction est possible grâce à optimisation. La mathématique pour cela est ordinal, dynamique, multicriterial (Pareto-efficacité). En termes de création de valeur, elle a la

« …Property that no one can be made better off without another being worse off….. L’efficacité de Pareto peut donc être considérée comme absence de gaspillage« 

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Un compte rendu mathématique sophistiqué peut être trouvé dans la thèse : (computation) L’efficience de Pareto est la systématisation du noyau d’une

Innovation du modèle commercial numérique. ⇒ Parce que l’organisation temps-optimale peut être calculée mathematicalement à partir de nombreux temps d’activité médicale, l’algèbre Boolsche est applicable. Par conséquent, l’organisation optimale des temps d’activité médicale est numérisable. Le logiciel utilisable existe déjà.

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Pour comprendre le principe d’efficacité de Pareto, le calcul de démonstration se poursuit avec les temps de TuR-P. Ils sont destinés à expliquer la structure à commande numérique d’un ordonnancement multidimensionnel (les structures spéciales : urgences, urgences différées, planification des espaces stériles et/ou septiques élevés, couvre-feu, etc. nécessitent des structures de permutation complexes. Ils suivent les mêmes principes que les permutations élémentaires, avec des adaptations appropriées. Pour des raisons de simplicité, la représentation complexe est omise).

Note : L’arithmétique ordinale dispense des 4 types arithmétiques de base et est trop peu familière:
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  1. Etape : générer un espace d’événement (= nombre total théorique de toutes les combinaisons possibles). Les classements possibles des 5 RUP sont calculés : Ψ = 5x5x5x5 = 55 = 3,125 dispositions équivalentes.
  2. Etape : Dimension d’activité : Dans les 3,125, on considère les permutations des combinaisons individuelles concrètes : Pour le 1er Tur-P, nous obtenons : 1,2,3,4,5⇒ 2,1,3,4,5⇒ 2,3,1,4,5⇒ 2,3,4,1,5.⇒ 2,3,4,1,5. Des combinaisons analogues s’appliquent également aux 2. 3. 4. et 5. TuR-P. 
  3. Etape Dimension spatiale : Les 5 TuR-P doivent être effectués en 2 OP. Cela va décomposer la dimension d’activité 1 – 5 en 2 sous-ensembles chacun. Par exemple, (1,2,3) (4,5) sont créés… donc 3 125 x 2 = 6 230 sous-ensembles d’activité. Pour eux, (1,2,3) est égal à (2,1,3), (2,3,1) et (4,5), (5,4) Important : Il n’y a pas de solutions singulières, mais seulement plurielles dans la séquence multidimensionnelle-work-part.
  4. Etape dimension temporelle : les activités 1-5 sont attribuées avec des temps correspondants : 1=35 ; 2=40 ; 3=50 ; 4=35 ; 5=60 min (Σ= 220 min). Selon les sous-ensembles d’activité de la dimension spatiale, 3 125 couples temporels sont maintenant créés. Il en résulte des ensembles de temps différents par salle d’opération (indépendamment de l’ordre dans lequel les sous-activités sont réalisées au sein de la salle d’opération), à partir desquels leur différence de temps (Δ) est calculée. Les paires sont classées par taille. L’analyse mathématique recherche l’appariement avec la plus petite différence de temps. Ce minimum garantit qu’aucune des deux équipes chirurgicales ne doit travailler en temps mort ou en heures supplémentaires. C’est le Vla charge de travail complète que réalise l’inno-vation du modèle d’affaires numérique.  
  5. valeur cible pour la pleine utilisation TuR-P : 220/2= 110 min. Parmi les paires, on choisit celles qui correspondent à la valeur cible 110 min. Le couple : (1,2,3) (4,5)⇒⇒ (125)-(95) = Δ 30 est inadaptable. Il génère 27,3% de temps mort+temps supplémentaire. Cette combinaison est juste en deçà de la sous-utilisation actuellement typique – dans de (très) nombreux blocs opératoires, ≈ 33% est considéré comme « normal ». Optimal: Ranking: (1,4,2) (3,5) ⇒ (35, 35, 40) (50, 60) = (110) (110) ⇒ ⇒ Δ+/-0 = Facteur de charge complet.

Flexibilité: La structure quantitative peut être optimisée dans son cadre selon les besoins pratiques. Parce que c’est une quantité de temps, les (VK) peuvent l’utiliser comme variablesvolume de temps en échangeant entre eux selon leurs dispositions. Dans l’exemple du bloc opératoire, 6échangesse produire sans violer le principe de utilisation complète. Cela permet également de tenir compte des exigences particulières (voir ci-dessus). 

La 1ère étape d’une innovation de modèle d’affaires numérique dans les hôpitaux a été réalisée avec une planification optimale en termes de temps. Dans la 2e étape, un algorithme-mus doit maintenant mettre en œuvre la planification dans un processus régi par des contingences temporelles prévisibles.

 

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To β : réalisation du flux temps-optimal, division du travail

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Dans le fonctionnement complet d’un hôpital avec plus d’une équipe et dans une aile de bloc opératoire avec plus de 3 salles d’opération, le plain modèle de calcul pour le flux temporel op-timal est mathématiquement insuffisant. Suivant le même principe, des modèles complexes pour des structures de flux complexes ont été développés – modifiés ordi-nellement – pour des algorithmes évolutionnaires adaptés à l’optimisation multi-objectifs dans les hôpitaux. Ils reposent sur un algorithme mathématiquequi peut être mis en œuvre via un (Pareto front) un complexe structuré de temps simples peut contrôler l’optimisation de l’espace-temps bidimensionnel.

En optimisation multi-objectifs,le front de Pareto (également appelé frontière de Pareto ou ensemble de Pareto) est l’ensemble de toutes les solutions efficaces selon Pareto. Ce concept est largement utilisé dans le domaine de l’ingénierie. Il permet au concepteur de limiter son attention à l’ensemble des choix efficaces, et de faire des compromis au sein de cet ensemble, plutôt que de considérer la gamme complète de chaque paramètre.

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Parmi les 3 types d’alorithmes évolutionnaires éprouvés, la méthode ordinale modifiée de la fonction d’atteinte des objectifs a été sélectionnée pour l’innovation du modèle commercial numérique dans les hôpitaux.

« La méthode de fonction de réalisation de la cible estime la probabilité de réaliser la cible dans l’espace cible et recherche des différences significatives entre ces fonctions de densité de probabilité pour différents optimiseurs. «  (goal attainment function)

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style= »text-align : left ; padding-left : 40px ; » align= »justify »>

Sa généralité mathématique permet de l’utiliser également pour optimiser le temps d’autres activités médicales (ex : diagnostic différentiel processus) pour parvenir à une innovation de bout en bout du modèle d’entreprise numérique.

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Spécificités de l’organisation du temps:

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Ordinal singlezle temps tombe dans la séquence réelle non seulement « dans » mais aussi « à côté » du centre du temps (Zz) mais dans le modèle de temps. Ils s’écartent de leur (Zz) en fonction de la constance de l’activité de la force totale (VK). Le moment où ce cas spécifique se produit est une question de hasard. Motif :

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  1. Dans l’ordonnancement optimal, le centre de temps « stable » (Zz) est explicitement défini comme une taille de plan.
  2. Dans le processus réel, les temps individuels se dispersent sur l’intervalle [0→(Zz)→1]. Pour la plupart, ils génèrent des décalages horaires par rapport à (Zz).  

H. h.. : Dans le pt 2, la différence est : temps unique⇔scheduled time dans (computable) contexte. Le véritable  » écart temporel  » peut et doit être fermé informatiquement en raison du respect de la limite : lim∑(tBZ)/∑(mTZ)→1 computationally. Avec l’optimisation de la diffusion partielle, le flux réel temporel est automatiquement « dense ». Cela garantit la pleine capacité organisationnelle réelle (≈ 100%) et constitue la version organisationnelle de l’évitement des frais généraux administratifs par l’innovation du modèle d’affaires numérique. 

Les données de la structure temporelle dans la réalisation des activités médicales.

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Son volume total se compose de 3 types de temps distincts, mutuellement modifiant, dans lesquels le front de Pareto évolutif transforme les temps planifiés en temps réels. Le Vchangement se produit selon le principe du mini-temps . Les 3 types de temps ont les caractéristiques suivantes:

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  1. Réparateur, mais calendrier en baisse. Son volume entre et est de plus en plus « consommé » par le front de Pareto.
  2. Le front de Pareto absorbe en permanence de nouveaux volumes de temps partiels dans l’emploi du temps et renonce en permanence à autant de temps fixes achevés. C’est la spécificité de l’algorithme de l’IA évolutionnaire. À cette fin, le minimum du volume spatio-temporel est vérifié toutes les 5 min pour chaque activité unique et la densité de probabilité (conditionnelle) pour cette horloge par OR est calculée. En fonction de l’écart par rapport au planning, on ajoute le temps prévu qui peut compenser l’écart au maximum. Comme les tests de densité de probabilité sont continus et que l’ajustement est donc continu, il est assuré que l’algorithme d’IA atteint la cible de (pleine utilisation) réelle (seuil >&gt ; 95%).
  3. .

Les terminés dans le processus mais en croissance volume temps d’activité fixe. Le résultat du processus se manifeste par un volume temporel fixe d’activités terminées dans toutes les salles d’opération.

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Lier des temps ordinaux avec des probabilités temporelles conditionnelles possible prévisions horaires téléchargeablespour l’optimisation du tempsdans le front de Pareto

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Au réel il existe des différences mathématiques à la synchronisation:

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1. Dans les activités globales médicales, il existe un organisationnel Nnet de sous-activités (= séquence+ensemble+parallèle) qui est non réductible à additif row de activités partielles(cut⇒ couture) et par conséquent non, comme il e. Actuellement, sur l’addition de leurs temps. Leur structure complexe comprend également des activités décalées dans le temps (par exemple, l’anesthésie) et parallèles (par exemple, la mesure).

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2. L’unique activité partielle effectue une procédure médicale typique. Cetteopération est primairepour la séquence.Le temps d’opération partielle est mesuré par rapport à celle-ci. Le domaine de la mesure peut saisir la durée à la fois (directement) (voir glande-quantité/temps), il peut la saisir classée (indirectement) comme des séquences d’intervalles (voir plus court-long), et il peut la saisir comme (indirectement) des faits doubles (voir contrôles visuels), à partir desquels le temps pour les activités suivantes est dérivé. Cela montre : déjà les types d’activité produisent des mesures qui appartiennent à des niveaux d’échelle différents et sont donc incompatibles les unes avec les autres. Les 4 types d’arithmétique de base ne peuvent représenter l’unité de telles structures.  

3. Le temps concret de l’activité partielle est le temps d’une affaire médicale qui doit créer avec son achèvement la condition pour l’achèvement temporel de l’activité globale. En termes d’organisation du temps, les temps d’activité partiels(à travers différents)niveaux d’échelle sont en relation conditionnelle avec le temps d’activité total. Un temps d’activité partiel « génère » le temps d’activité total non pas en le multipliant, mais en « transférant » son temps au temps d’activité total en unité avec d’autres temps d’activité partiels. Chaque temps d’activité partiel correspond dans le temps au temps d’activité total. 

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4. Parce que lorsque la même activité partielle est répétée, les faits médicaux agissent à des rythmes différents en raison de l’individualité du patient, les temps ne sont pas les mêmes. Par conséquent, des correspondances temporelles structurées différemment« entre le temps d’activité partiel et le temps d’activité total se forment dans la multiplicité des des correspondances temporelles structurées différemment« entre le temps d’activité partiel et le temps d’activité total. Au cours d’un fréquent temps d’activité partielle, donc, non seulement un certain nombre de fois (événements temporels) s’accumulent, mais le directly correspondant au temps d’activité total le plus fréquent (Zz), mais aussi des événements temporels correspondant à scattering times, c’est-à-dire adjacents au centre temporel (Zz).

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Le calcul du béton:

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a. Dans une activité partielle, il existe un intervalle de temps qui contient les ordinary événements temporels les plus fréquents. Pour ceux-ci, il faut déterminer le rapport de temps(a/b) en ce que tous les temps (a) ont la propriété de correspondre directement aux temps les plus fréquents du temps total d’activité (Zz). Il est fixé dans le même intervalle en proportion des temps (b) qui ne correspondent pas.

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b. Le temps d’activité total ordinal le plus fréquent dans l’intervalle (Zz) forme avec les temps résiduels de la dispersion unrapport temporel (x/y) dans lequel (x) représente le nombre de tous les événements temporels dans (Zz) et (y) représente le nombre de temps hors (Zz) (dispersion).

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c. L’influence temporelle quatitative (α) du temps d’activité partielle (I) sur le temps d’activité totale (Zz) est obtenue lorsque le conditionnel rapport du temps d’activité totale (x/y) [i. Le dénominateur] est les proportions du conditionnel rapport partiel de temps d’activité (a/b) [i. Numérateur] dans le rapport temporel double : (α) = [(a/b) // (x/y)] « compte« . Ceci s’applique à toutes les sous-activités (I)…(N).

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d. L’impact temporel quantitatif de tous les temps d’activité partielle (I)…(N) sur le temps d’activité rémunérée (Zz) est donné par le produit de tous les rapports temporels :. [(a/b) // (x/y)] * [(c/d) // (x/y)] *…… * [(n/m) // (x/y)] * (x/y) et exprimé en % de probabilité après transformation appropriée.

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e. Une estimation du temps pour la fin d’une current activité globaleest créé successivement (de mieux en mieux) en calculant son rapport de temps (a/b) après la fin d’une sous-activité et en formant le produit avec les rapports de temps précédents formés pour les sous-activités déjà terminées. Le loadable probable tendance temporelle pour (Zz) = 100% se pose:

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    1. : [(a/b) // (x/y)] = (α) (α %) <<&lt ; (Zz %)
      .
    2. : [(a/b) // (x/y)] * [(c/d) // (x/y)] = (β) (β %) <&lt ; (Zz %)
      .
    3. : [(a/b) // (x/y)] * [(c/d) // (x/y)] * [(e/f) // (x/y)] = (γ) (γ %) &lt ; (Zz %)
    4. .

    5. : …. etc.

Probablement signifie au sens de (von Mises) objectivement de supposer le fait …

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. ..que pour les événements futurs, seul le calcul est possible, en tant que circonstance conditionnée par la mise en place ob-jective de la réalité.
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Cette probabilité utilise ici toujours des réels mesurés (et non des expériences de pensée), qui permettent l’application des théorèmes limites de la stochastique (lois des grands nombres). Plus il y a de fois, plus les déclarations sont précises. 

5. Avant ce système d’algorithme, une loadable prédiction de temps peut être faite sur le temps er- attendu d’achèvement d’une nouvelle, encore en cours activité médicale. Si les nouvelles sous-activités sont physiquement (chimiquement. ) approximativement comparable à ceux qui se sont produits de manière similaire dans la même activité, il est (hautement)-probable que la nouvelle activité se termine également par un similaire temps total d’activité. Si ce n’est pas le cas, il faut calculer les probabilités divergentes. Le produit des probabilités individuelles concordantes et déviantes donne le délai +/- de l’activité totale (x &lt ; Zz ou Zz &lt ; y).

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La régression logistique

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L’algorithme qui peut mettre en correspondance ces relations conditionnelles est le (régression logistique, p. 232) (par UK). Leur but est…

la variable dépendante dans la plus grande mesure possible statistiquement (trop) expliquer, et quantifier l’influence dirigée de chaque variable indépendante sur la variable dépendante et.

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À cette fin, on construit un système numérique de temps d’activité dépendant de la force, dans lequel le temps d’activité total est la variable dépendante (temps cible) et le complexe des temps d’activité partiels précédents sont les variables indépendantes (conditionnelles) (temps partiels). Du point de vue de l’activité individuelle d’une (VC), elle génère une sorte de « timeline », (le temps conditionnel) vers l’activité globale, à chacune de ses activités vers les sous-activités transversales. Pour de nombreuses activités, les coïncidences temporelles de la ligne de temps créent un « maillage de lignes » temporel non parallèle – le base de données d’un (Pré-commande), qui est basé sur (conditional-probabilities), leurs ensembles de multiplication et les (Théorème de Bayes)est calculé sur des intervalles non dichotomiques. Cela « sous-tend » chaque sous-activité avec une structure temporelle ordinale qui la représente.On détermine alors avec high probabilité si le calendrier sera respecté ou non. L’algorithme du front de Pareto reçoit donc des données temporelles pour sa « décision », à savoir s’il peut continuer à respecter le déroulement temporel prévu ou s’il doit réoptimiser en raison d’écarts temporels [par exemple, hémorragie, absence de personnel, rupture de matériel…].
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Cette théorie est démontrée sur l’exemple TuR-P (pour simplifier sans temps décalés/parallèles). Les cinq sous-activités sont les suivantes :  I. laver, II. insérer le tour, III. Rabotage, IV. Arrêt des saignements, V. Désinfection. Les temps de pts : I-V sont présentés ci-dessous dans la distribution de fréquence respective des temps individuels. Ils sont tous associés à un seul moment dans la distribution de fréquence de TuR-P. Les temps de couleur sombre des sous-activités sont directement liés au centre temporel du TuR-P. Les temps gris colorés sont liés aux temps suivants du (Zz). La probabilité conditionnelle a été calculée pour les deux ensembles de temps par sous-activité. La multiplicative concaténation des valeurs donne la séquence de probabilité cumulativement croissante, qui, en fonction de l’avancement réel des sous-activités, quantifie la probabilité d’atteindre le temps cible (TuR-P ; 35 min) en % : par exemple : I:78,1&lt ; II:83,3&lt ; III:91,6&lt ; IV:89,7&lt ; V:92,6 ; atteinte des objectifs à partir de III certain (&gt ; 85 %).

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Où sont les heures standard, par exemple. en raison d’un saignement grave (IV) non satisfait, un ordre de régression des probabilités résulte en un avertissement. Ce serait dans le cas (IV) : 78,1→ 83,3→ 91,6→ 41,7→ 92,6. La réalisation de l’objectif est inférieure à (&lt ; 77,5%). Le front de Pareto traite ces « perspicacité » en calculant si elle peut encore réaliser une utilisation complète avec l’activité médicale planifiée par la suite ou si elle doit éviter les temps morts par re-groupement temporel et/ou spatial. Dans ce cas, cela entraînerait des corrections de plan pour l’activité des personnels complets suivants, qui en seraient informés à temps (10 min avant la fin du TuR-P).

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Vidéo

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Afin d’évaluer la nécessité d’un changement, il existe un suivi temporel pour l’ensemble du processus de la partie travail.

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Les limites bleues de la page indiquent les limites temporelles jusqu’auxquelles les valeurs individuelles ac-tuelles et aléatoires peuvent se disperser sans compromettre la mise en œuvre de l’horaire optimal. Le vert est la tendance actuelle en temps réel autour des valeurs du plan (ligne 0).

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Pour pouvoir réaliser la fonction objectif optimale avec le Front de Pareto, le Calcul des probabilités de BAYES est disponible en statistique A ces mathématiques s’applique l’algèbre de Boole. Par conséquent, le Pareto front est numérisable. Le logiciel utilisable existe déjà.

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5. les résultats économiques de l’innovation du modèle d’affaires digi-tal.

Pour la première fois, le résultat suit la stratégie : Maximiser le bénéfice collectif f. d. hospital. OPotentiels d’économies organisationnelles et économiques: Réduction des coûts de personnel, mesurée au niveau actuel : ≈ Ø ¹/3 /J. Par exemple : 8 salles d’opération réduites à 5 salles d’opération (= utilisation complète). Conséquence :

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      1. Économies en frais de personnel par an ≈ 1,2 million € (permanent).
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      3. Valeur en capital (Co) de l’investissement (8% Z.) ; Co = 3,409m
      4. .

      5. Interêt interne ro = 42,7%
      6. .

      7. Taux de valeur du capital k (sur 5 ans) = 503%
      8. .

      9. rendement excédentaire annuel K* = 43,26%
      10. .

      11. Retour d. investissement total. kg = 51.26%
      12. Économie permanente de 18 employés à temps plein (sur 48)
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Le projet se poursuivra avec le processus de diagnostic différentiel.

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        • Tip
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      • Déterminer libre vos propres réserves de processus
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    • Vous pouvez en avoir un (PROTOTYPES) try (let) ! 
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6. L’innovation du modèle d’affaires numérique permet une logistique tirée pour une dotation complète en personnel optimisée dans le temps.  

La fonction de prévision détermine non seulement la fin probable d’une tâche, mais aussi le début possible de la tâche suivante. Cela peut être utilisé comme une stratégie organisationnelle pour travailler sans temps mort dans les activités suivantes. Pour cela, le (Pull principle) est digitalisé.

Ce principe est une maîtrise de la consommation par « pulling« .

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L’activité ne commencera plus à une heure significativement plus précoce fixée de manière pro-gnostique (voir programmation OP la veille). De même, l’activité n’est pas appelée alors que l’activité précédente est déjà terminée (stratégie de poussée). Le nouveau temps de présence actuel est déterminé par l’activité qui le précède par récupération ponctuelle. La fonction de prédiction des probabilités conditionnelles permet non seulement de mettre en place une stratégie d’attraction, mais aussi de contrôler numériquement sa réalisation. L’effort de contrôle des processus organisationnels est considérablement réduit.

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7e Gémeaux numérique

L’innovation de modèle d’entreprise numérique présentée ci-dessus peut être considérée comme la base d’une série de niveaux supérieurs d’innovation d’entreprise numérique. La propriété du point 2 est extensible au quotidien pour l’ensemble de l’org-anisation dans le temps. Ensuite, un (Jumeau numérique) est créé. C’est le…

représentation virtuelle d’un… processus utilisé pour prédire les caractéristiques de performance de son homologue physique .

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Le jumeau numérique du temps total d’activité est un logiciel qui contient (par jour) le processus de temps programmé. En tant que modèle de simulation, il sert à calculer et à représenter les impacts liés au temps et/ou les évaluations d’impact organisationnel qui se produisent en cas de imprévisibles changements de situation (par exemple, urgences, absences du personnel, problèmes d’approvisionnement,…) qui nécessitent une nouvelle planification quantitative ou qualitative.

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